vendredi 22 octobre 2010

Mode immature à "on"

Pourquoi c'est quand j'ai le plus besoin de mes amis que j'ai l'impression que beaucoup d'entre eux m'abandonnent? (pas tous, pas tous... mais quand même)

Je joue à la fille délaissée et pathétique, je sais. Mais ça me fait du bien.

J'ai plus tendance à m'inscruster ces temps-ci et j'en suis désolée, mais j'ai BESOIN d'être avec des gens en ce moment, il me semble que c'est pas dur à comprendre, bordel!

Au pire, mangez d'la marde, je vais savoir à quoi m'en tenir à l'avenir.

Bon, maintenant que j'ai été immature à fond et que je me suis défoulée, je peux me calmer.

jeudi 21 octobre 2010

J'ai mal au coeur.

Criss que je m'ennuie de toi...

mardi 19 octobre 2010

Ouf! C'est tellement agréable d'avoir un chum (ex...) qui est super compréhensif et gentil malgré tes quelques petites crises.

On a eu une belle discussion tantôt et on va se reparler seulement dans une semaine ou deux, ce qui est une bonne décision.

Juste à cause de ça, il y a déjà une partie de mon poids qui s'est libéré, et ça va un peu mieux.

Ce soir, j'aurais voulu voir des amis pour éviter de rester seule, encore une fois, et pour profiter d'une belle soirée un peu débauchée grâce au congé de demain.

Mais bon, ç'a planté, pis ça fait chier. Je suis seule dans ma chambre et là...

Ça y est, je m'ennuie de toi.

Le délai va peut-être être plus long que je croyais, finalement... Peu importe...

(même si je devrais pas...) Bonne nuit mon p'tit chat, je t'aime...

lundi 18 octobre 2010

Au lieu de faire mon travail de philo...

Étrangement, cette chanson me fait du bien... un peu.

Ils se sont embrassés tard dans la nuit
Sur la banquette d'un taxi
Dehors un lampadaire s'est rallumé
Ils ont fait voeu d'éternité
Sur le toit de la voiture, le néon lumineux
Ne semblait briller que pour eux
Comme une petite auréole dans le noir
Le taxi filait vers la gloire

Oh qu'il est triste le sort des amoureux
Se disait le vieux chauffeur amusé
Car on commence toujours à se dire adieu
Dès notre premier baiser

Ensemble ils ont pris un appartement
Où ils vécurent au gré du temps
Une vie avec des lunettes roses
Exempte de journées moroses
Mais le poids du quotidien, ce p'tit diable malin
Vient s'installer un bon matin
Et les coeurs qui furent si légers hier
Retombent les deux pieds sur terre

Oh qu'il est triste le sort des amoureux
Qu'on se dit au bout de quelques années
Car on commence toujours à se dire adieu
Dès notre premier baiser

Les amants d'hier sont devenus amis
Plus de chaleur dans le logis
Les rêves qu'il avaient jadis en duo
S'endorment maintenant dos à dos
Par la fenêtre elle regarde celui qu'elle a aimé
La quitter pour l'éternité
En emportant tout un pan de sa vie
Dans un anonyme taxi

Oh qu'il est triste le sort des amoureux
Qu'on se dit lorsque tout est terminé
Car on commence toujours à se dire adieu
Dès notre premier baiser

Oh qu'il est triste le sort des amoureux
Qu'on se dit lorsque tout est terminé
Car on commence toujours à se dire adieu
Dès notre premier baiser

samedi 16 octobre 2010

Parfois, pour une raison ou pour une autre, on ressent un vide à l'intérieur de soi. On arrive alors à le chasser en fredonnant une chanson, en sortant avec des amis, en mangeant, en riant.

Mais il arrive que malgré tout cela, le vide persiste. Le vide qui t'écrase la poitrine comme un fou.

Même quand je chante une chanson joyeuse.
Même quand je ris comme une folle avec mes amis.
Même quand je me force pour manger un peu.

Le vide est toujours là, il ne lâche jamais prise.

Les semaines passaient vite, même si tu n'étais pas là. J'adorais le jeudi soir. Je rentrais chez moi avec le sourire en sachant que je te verrais très bientôt, que j'entendrais ta voix, que je pourrais te prendre dans mes bras.

Je vivais un paquet de choses stressantes, mais j'encaissais et je surmontais en pensant à toi, à toute l'énergie positive que tu m'envoyais.

Maintenant, je vais devoir affronter tout ce qui me stresse, avec le vide qui empire tout. Je vais rentrer chez moi les jeudis soirs en traînant les pieds, la tête basse et la larme à l'oeil parce que je ne pourrai pas te voir dès le lendemain, avec ton sourire qui fait pétiller tes yeux. Je ne pourrai pas entendre ta voix, ni te prendre dans mes bras.

Je m'ennuie tellement de toi... Ça fait atrocement mal...

Ça fait juste depuis hier, mais ç'a passé beaucoup trop lentement... J'en ai déjà assez de pleurer, et c'est sûrement pas fini...

Je donnerais n'importe quoi pour qu'on me libère de tout ça... Ça me ravage... Mais malgré tout ça, je t'aime toujours autant...

vendredi 15 octobre 2010

Ouais ben fallait bien que je poste plein de jolis messages décrivant mon bonheur pour que ma bulle me pète en pleine face...

J'sais pas comment réagir, j'sais juste que je suis tannée de pleurer.

Damn, j'ai l'impression qu'on m'a arraché le coeur.