Parfois, pour une raison ou pour une autre, on ressent un vide à l'intérieur de soi. On arrive alors à le chasser en fredonnant une chanson, en sortant avec des amis, en mangeant, en riant.
Mais il arrive que malgré tout cela, le vide persiste. Le vide qui t'écrase la poitrine comme un fou.
Même quand je chante une chanson joyeuse.
Même quand je ris comme une folle avec mes amis.
Même quand je me force pour manger un peu.
Le vide est toujours là, il ne lâche jamais prise.
Les semaines passaient vite, même si tu n'étais pas là. J'adorais le jeudi soir. Je rentrais chez moi avec le sourire en sachant que je te verrais très bientôt, que j'entendrais ta voix, que je pourrais te prendre dans mes bras.
Je vivais un paquet de choses stressantes, mais j'encaissais et je surmontais en pensant à toi, à toute l'énergie positive que tu m'envoyais.
Maintenant, je vais devoir affronter tout ce qui me stresse, avec le vide qui empire tout. Je vais rentrer chez moi les jeudis soirs en traînant les pieds, la tête basse et la larme à l'oeil parce que je ne pourrai pas te voir dès le lendemain, avec ton sourire qui fait pétiller tes yeux. Je ne pourrai pas entendre ta voix, ni te prendre dans mes bras.
Je m'ennuie tellement de toi... Ça fait atrocement mal...
Ça fait juste depuis hier, mais ç'a passé beaucoup trop lentement... J'en ai déjà assez de pleurer, et c'est sûrement pas fini...
Je donnerais n'importe quoi pour qu'on me libère de tout ça... Ça me ravage... Mais malgré tout ça, je t'aime toujours autant...
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